2002 rectangle orange évidé de 5 disque au siège de Peugeot. Voir d’un point de vue décentré.
L’orangerie du château de Versailles en 2006 à l’occasion des nuits blanches. Voir point de vue décentré.
Voir d’autres réalisations à Versailles.
– Le port de St Nazaire (2007) suite de triangles.
Felice Varini explique sa démarche.
– Voir également La Villette (en suite) au Pavillon Paul Delouvrier en 2015.
– Metz cinq éclipses ouvertes (2009).
Voir Varini artiste illusionniste.
– Musée de Sérignan en 2012
Voir un commentaire de l’artiste.
– Salon de Provence 2013.
– Grand palais exposition dynamo (2013).
Toit de l’immeuble du Corbusier en 2013. Voir d’autres installations dans l’immeuble Le Corbusier à Marseille.
Carcassonne l’œuvre qui divise
Carcassonne avril-septembre 2018 pour le 20ème anniversaire de l’inscription au patrimoine de l’Unesco. Opposition de la population.
Voir le site de Felice Varini.
Trompe l’oeil et anamorphoses
La réalisation de trompe l’oeil date de l’antiquité. Peu d’exemples cependant sont arrivés jusqu’à nous contrairement aux sculptures et architectures. Pline l’ancien raconte l’histoire du peintre Parrhasius.
Dans l’histoire de l’art occidental on trouve des trompe l’œil à partir du XVIème siècle
Pour Platon la peinture en trompe l’oeil est une sorte de sorcellerie.
Michel Ange peint le plafond de la chapelle Sixtine avec de fausses architectures. Plusieurs espaces coexistent séparés par de fausses pierres.
Pozzo gloire de St Ignace. 1685. Voir des explications complémentaires.
Pierre DelaviePierre Delavie.
Il détourne à des fins artistiques des bâches de chantier. Mensonges urbains.
Cette réalisation, Immeuble déformé au 39 av Georges V à Paris en 2007, va contribuer à sa notoriété 2 500 m2 de bâches. A certains endroits sur la bâche il ajoute des volumes.
2012 à contre Pierre Lille illusion de colonnes qui s’effondrent.
2016 Marseille palais de la bourse. Le soir jeu de lumières.
Grand palais 2014 néo rapt toutes les civilisations un jour s’effondrent. Voir la nuit.
2017 le radeau de Lampéduse Paris, barque de migrants. Commande du bureau d’accueil aux migrants. Après avoir photographié une barque de migrants, il y a ajouté des portraits de parisiens rencontrés dans la rue. Voir sa mise en place.
Exemples de bluff visuel que l’on peut produire aujourd’hui grâce aux technologies numériques, qui permettent de déformer et de retravailler les images.
Voir le site de Pierre Delavie.
Anamorphose
Une anamorphose est une déformation réversible d’une image à l’aide d’un système optique — par exemple un miroir courbe — ou une transformation mathématique.
Holbein les ambassadeurs 1533. Sert à envoyer des messages subliminaux. Voir un commentaire.
Les artistes contemporains sont nombreux à jouer avec ces principes.
J.F. Niceron (1613-1646) physicien et mathématicien français. Entre dans l’Ordre des Minimes. Il manifeste un vif intérêt pour l’optique, la perspective et les anamorphoses.
Son traité, La perspective curieuse fut publié en 1638.
Bernard Pras est le fils de Jacques Pras, coureur cycliste de Jarnac dans les années 1940 et 1950. Elevé en partie par sa grand-mère qui tenait une épicerie et qui l’initiera à l’art, il fait des études courtes de mécanique, qu’il abandonne rapidement pour s’inscrire aux Beaux-Arts de Poitiers puis de Toulouse. Diplômé en 1974 des Beaux-Arts de Toulouse, Bernard Pras devient maître auxiliaire dans différents collèges avant de démissionner de l’Education nationale. Son activité artistique s’oriente alors vers la gravure chez Claude Manesse. À la fin des années 1980, après plusieurs années de doutes et de recherches sur la forme, il commence à trouver sa propre voix artistique en mettant au point le principe de l’aquagravure.
En 1994, il réalise ses premières anamorphoses.
Louis XIV. A partir du tableau de Rigaud. Voir un commentaire.
Bernard Pras, roi de l’illusion artistique et écolo au Musée du Touquet
Voir le site de Bernard Pras.
Markus Raetz né le 6 juin 1941 à Büren an der Aare, une petite ville près de Berne, en 1941. Il a travaillé comme assistant pour un artiste local pendant ses vacances scolaires et a travaillé comme enseignant après avoir étudié à Berne. Il n’a pas étudié l’art et n’a bénéficié d’aucune formation technique, sauf, selon sa biographie, d’un cours de gravure à Amsterdam.
Il a fait ses premières expositions en 1966 et depuis lors a exposé dans plusieurs galeries et musées. Représentation de la Suisse à la Biennale de Venise 1988
La sculpture en fonte Métamorphose II (1991-1992) présente, d’un côté, la silhouette de l’artiste Joseph Beuys chapeauté, et, de l’autre, le lièvre qui serait le totem de Beuys.