Cours du 15 mars 2015

Voir également Kennedy, Johnson, Nixon et le lieutenant Calley sur le chemin de My-Lai, réalisé à partir d’une photo du massacre de My-Lai


Bernard Rancillac – Coucou Congo (2003) 130 x 195 cm
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Coucou Congo à propos de l’ancien Congo belge.


Bernard Rancillac – Le front Polisario (1976) 195 x 130 cm
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Le front Polisario.

Série avec les personnages de Mickey.


Bernard Rancillac – Bloody comics (1977)
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Bloody comics 1977. Sur la junte militaire qui pris le pouvoir au Chili.
Il prend des leçons de trompette et réalise une série sur les joueurs de jazz.


Bernard Rancillac – Sortie de la messe (2013) acrylique et peluche sur toile, 114 x 146 x 15 cm
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2014 Sortie de la messe, acrylique et peluche sur toile. Mickey assiste à la communion de sa sœur.
Voir un commentaire.

Voir d’autres œuvres de Bernard Rancillac.

Jacques Monory né en 1934 Après une formation de peintre-décorateur à l’école des Arts appliqués de Paris, Jacques Monory travaille dix ans chez l’éditeur d’art Robert Delpire, où il se trouve en contact avec l’univers de la photo.

Il est l’un des principaux représentants du mouvement de la Figuration narrative qui, au milieu des années 1960, s’est opposé à la peinture abstraite avec, notamment, les peintres Hervé Télémaque, Erró, Rancillac, Peter Klasen, Eduardo Arroyo, Valerio Adami et Gérard Fromanger.

Profondément préoccupé par la violence de la réalité quotidienne, les tableaux de Monory suggèrent des atmosphères lourdes et menaçantes. Les thèmes sont développés à travers des séries et les images qu’il utilise sont directement issues de la société contemporaine. Des emprunts photographiques et cinématographiques, le recours à la monochromie, la froideur de la touche et de la composition caractérisent un style singulier et engagé dans la représentation, et baignent souvent dans un monochrome bleu.

Il se represente comme un héro de roman noir. Il a choisi des peintures bleutées.

A travaillé à la mise en page de documents. Il est passionné de cinéma, il travaille a partir de photos qu’il prend lui même. Le réel représenté dans cette ambiance bleutée, ne semble pas vrai. Il travaille à la peinture à l’huile.
Il peint des choses hyper réalistes.


Jacques Monory – La fin de Mme Gardenia (1966) huile sur toile tendue sur bois, plexiglas, 280×320 cm
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Jacques Monory la fin de Mme Gardenia (1966)


Jacques Monory – Autoportrait (1967) 163 x 163 cm
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Jacques Monory auto portrait, comme un personnage de roman noir. Images sombres, il est le héros d’une scène sombre.


Jacques Monory – Meurtre n°1 (1968) 162,5 x 391 cm Musée d’art moderne de St Étienne
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Scène de rue déchirée par l’impact d’un tir, qui touche l’homme à droite. Basculement de l’image et effet du hors champ donne l’impression d’un roman photo. La violence du tir fait basculer l’image.

meurtre n°10/2. Les spectateurs font partie du tableau. En faisant baigner ses personnages dans du bleu, il indique que cela peut être n’existe pas. Il va jouer sur cette ambiguïté.
Voir un commentaire.
Voir également meurtre n°2, meurtre n°18,

Voir interview de Monory dans Libération.


Jacques Monory – Velvet Jungle n° 13/1 (1971) 260 x 300 cm, Musée d’Art Moderne de la Ville de Paris
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Jungle de velours série suivante. Il part de photos prises dans des jardins et crée des mises en scènes où va se dérouler un drame latent (un doigt va appuyer sur un bouton), l’homme et l’enfant sont reliés par les fils blancs à des numéros. personnages avec un bandeau de l’anonymat.

Dreamtigers les tigres de rêve. animaux féminins et sensuels qui portent la mort au bout de leurs pattes. Voir Adrianna 2, il représente sa femme.

Série des Images incurables 1974 image incurable n°6, image incurable n°26, image incurable n°24,image incurable n°34.
Couple à la plage, le fait d’avoir bleute l’image donne l’idée de catastrophe.

Série les opéras glacés, série de catastrophes dans l’opéra de Paris.
Série les opéras glacés 1974.

Série des vallées de la mort


Jacques Monory – Death valley (1975)
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Death valley à partir d’une gravure de Durer associées aux images du désert..

Série Toxiques 1982


Jacques Monory – Toxique n°32 (1983)
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Scènes en jaune et rose.

Série la voleuse L’ensemble de La Voleuse – peintures et film – évoque l’histoire de la rencontre rêvée entre le peintre et une petite fille. Poursuivis par la police, ils lui échappent toujours. Dans cette série, il met en scène sa femme, Paule.

En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/culture/portfolio/2015/01/20/jacques-monory-voit-la-vie-en-bleu_4555214_3246.html#h8hQ3qY7lj8YZMeB.99

Série Fragiles voir le n°6 1983, explosion de véhicules qui s’oppose à l’image du scribe accroupi.

Série angoisse angoisse face à la mort.

Série des Peintures sentimentales voiture bleu.

Article sur les séries de Jacques Monory.

Voir d’autres œuvres de jacques Monory.


Exposition Jacques Monory à Landerneau

Voir le site de Jacques Monory