La partie la plus célèbre de son oeuvre sont ses wall hanging
Wall hanging 1967 feutre découpé. Il part de formes brutes, il procède a des entailles a des fentes, il les suspend au mur.
Voir d’autres wall hanging : Wall hanging 2, Wall hanging 3.
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Voir exposition à Lyon en 2006.
L’idée est de laisser la matière libre.
Ses réalisations deviennent de plus en plus nobles, il quitte progressivement le domaine de l’informe.
Dans les années 80, évocation des sexes féminins.
Les formes minimalistes et corps est le fil conducteur.
Évoque les sièges d’Olivier Mourgue.
ou encore le Manteau d’Etienne Martin 1962.
1971 Blind time drawings
Il réalise le dessin les yeux bandés avec ses doigts dans un temps donné. Voir un commentaire.
Body space mirrors
La présence des spectateurs va faire vivre l’art. Voir commentaire du musée de Lyon.
Robert Morris – Cubes de miroirs en plein air
Cubes de miroirs en plein air.
Projet de land art en hollande 1977, observatoire.
Regards sur sa production actuelle :
Tar Babies, of the New World Order à la biennale de Venise (1997).
Tar Babes, installation avec des colonnes d’argile, au dessus desquelles sont disposés des puttis peints en noir moulés sur ceux de Donatello sur le Duomo de Florence.
Il est pessimiste sur l’avenir du monde, et les puttis qui voltigent au dessus des colonnes donnent l’impression d’être immortels.
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En 2004 pour fêter les 500 ans du David, interview de R. Morris. Il a réalisé deux vidéos qui traitent de la réception du David par les visiteurs.
Il a ouvert un certain nombre de pistes tout en donnant l’impression de toucher à tout et de s’être investi dans des domaines très divers.
Sol LeWitt (1928-2007)
Après des études d’art, il voyage en Europe et après son service militaire en Corée, il a travaillé avec Pei, il a gardé le goût de la précision et du travail d’équipe.
dans les années 60, il est réceptionniste au MoMA et il rencontre de nombreux artistes. Il a une passion pour l’angle droit, les carrés et les cubes.
Carré rouge lettre blanches (1963)
Il montre la relation entre l’image et le texte : ce qu’il y a lire est ce que l’on voit.
A partir de 1965 utilisation de l’aluminium ou de l’acier.
Il réalise des structures composées de carrés et de cubes.
Serial project n°1 1964, voir un commentaire (MoMA).
Il a travaillé sur la question du cube incomplet open cube.
5 parg piece in form of cross (1968) Centre Pompidou Paris. 4 cubes et un cinquième au centre.
Photogrids 1977. Voir un commentaire.
Ce sont des photos d’objets réels, pris dans le monde entier, qui ont une forme carrée et qui sont réunis dans un livre.
Photographie obsessionnelle d’un mur de briques vu depuis son atelier.
Il est également célèbre par ses wall drawings qui vont l’occuper jusqu’à la fin de sa vie.
Wall drawing n°95. L’artiste conçoit l’oeuvre, mais il ne la réalise pas. Le musée qui souhaite la présenter achète un certificat d’authenticité, qui définit précisément les conditions de réalisation. L’oeuvre est ensuite réalisée par les artisans ou des étudiants locaux.
Sol LeWitt – Wall Drawing 630 (1990) (gauche) et Wall Drawing 614 (1989)
(cliquer sur l’image pour l’agrandir)
Il a conçu 1 200 wall drawings (entre 1968 et 2007), et il n’en a réalisé lui-même aucun.
Voir d’autres wall drawing.
Pour certains wall drawing, leur taille est déterminée par la hauteur des murs de la salle d’exposition.
Voir Sol LeWit à la collection Lambert d’Avignon.
A partir des années 80 il, utilise une peinture à l’eau et met en place des jeux de perspective.
Wall drawing 541, voir le certificat, voir les diagrammes. Effets de fresque, illusion du volume.
Pour l’artiste le wall drawing est une installation permanente, même détruite. Le propriétaire du certificat d’authenticité est propriétaire de l’oeuvre même s’il ne la réalise pas, il peut revendre son certificat (spéculation sur un objet immatériel).
Voir d’autres oeuvres de Sol LeWitt
Voir présentation de l’exposition Sol LeWitt au centre Pompidou en 2013.