Robert Delaunay (1912) la ville de Paris. 3 grâces puisées dans une fresque de Pompéi, mèlée à des éléments de Paris. (voir un commentaire)
Série des fenêtres les 3 fenêtres la tour et la roue.
L’équipe de Cardiff (1913) image dynamique, travail sur la lumière style cubo futuriste. Voir un commentaire.
Hommage à Blériot 1914.
František Kupka a également été influencé par le futurisme.
Femme cueillant des fleurs, jeu sur la persistance rétinienne. (voir un commentaire)
Malévitch Le rémouleur 1912-1913
Au premier abord, l’on remarque seulement une multitude de formes géométriques se fondant entre elles, dont les couleurs sont sobres mais néanmoins nombreuses. Tantôt froides (sur la partie droite du tableau, du blanc, du bleu électrique) tantôt chaudes (sur la partie gauche du tableau du rouge-orangé, du vert-forêt et du gris-noir), les couleurs sont les seuls motifs de profondeur. C’est seulement en s’éloignant du tableau que l’on distingue des formes plutôt concrètes, bien que géométriques. Ainsi le titre du tableau prend son sens : Au premier plan, l’on peut apercevoir un homme quelque peu courbé aiguisant un couteau sur une roue d’usage.
Natalia Goncharova Lampes électriques.
Georges Grosz – L’enterrement d‘Oskar Panizza (1917), Stuttgart, Staatsgal
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Représentation à la fois dynamique et fiévreuse des grandes villes
La transformation de la ville en une vaste métropole a été l’un des sujets de la plupart des peintres du début du XX siècle, et Grosz n’a pas fait exception. Il était désireux de capturer ces changements rapides et constants, il a peint cette vision de Berlin, à la Première Guerre mondiale dans un style expressionniste dans avec le rouge la couleur dominante. Il a utilisé des dispositifs cubistes et futuristes, une perspective très rigide et des chiffres qui se chevauchent pour donner le rythme effréné de la vie citadine. Alors que d’autres peintres ont produit une interprétation très optimiste, Grosz, marqué par son expérience de la guerre nous offre une vision apocalyptique, soulignant l’aliénation de l’homme qui plonge tête baissée vers l’autodestruction.
Les premières recherches sur le mouvement sont entreprises par Etienne Jules Marey vol d’un oiseau. En 1882 invention d’un fusil photographique. Invention de la chronophotographie. Ces photos ont marqué l’imaginaire de beaucoup d’artistes. Réalisation en cire perdue, figures de goélands Eadweard Muybridge images de chevaux. Courses, couples qui dansent.
Autres artistes
Valdimir Velickovic. Il retravaille la question de l’homme qui court. Il est pousuivi par les violences de la guerre. Il reprend les chronophotographies de Nuybridge. Il rajoute des éléments graphiques. Chiens, voir les dessins
Jean Tinguely machine qui grincent, il veut montrer la fragilité des machines.
1955 machine à dessiner. Il a détruit la machine à la fin de l’exposition.
Autodestruction de ses machines.
Son œuvre est consacrée aux machines, mais à l’opposé des futuristes, chez lui les machines sont dérisoires
Philippe Stelarc
Il recré un homme nouveau il s’est fait greffé un nouveau bras. Performance avec ses trois mains. L’objectif est de fabriquer un homme machine avec son propre corps.
Voir un film sur la démarche de Philippe Stelarc