Les baptistères
Aix fin du IVéme siècle colonnes de réemploi, Fréjus, Riez (Véme siècle), ressemble à celui de Marseille.
Par la Provence passe également un des quatre chemins de St Jacques de Compostelle. C’est d’ailleurs, la plus ancienne des quatre routes françaises.
Dès les premiers siècles après JC, la Provence est divisée en plusieurs évêchés, dont Arles le plus important et Aix. En Provence, le primat est celui d’Arles. Ces archevêque auront sous leur direction des évêques avec des diocèses. Les évêchés sont très nombreux, ils sont claqués sur les juridictions romaines (Marseille, Sisteron, Fortcalquier, palais épiscopal à Lurs, Digne, Senaise village médiéval et somptueuse église au centre, palais épiscopal, Embrun, Antibes, Fréjus, Toulon). Il y a eu une réduction importante du nombre des diocèses après la Révolution.
Au XVI éme siècle la réforme va pénétrer dans la région, surtout à Aix ville universitaire, en revanche, mais pas à Marseille.
En 1511 Aix devient la capitale parlementaire de la Provence. Ce fut un grand tournant pour Aix et la Provence, il conduisit au développement du commerce, à de nouvelles constructions à un essor économique et culturel important. La contre réforme profita à la ville, qui devient baroque, avec la construction de maisons de campagne pour la classe aisée (famille d’Albertas)
A Marseille il existait 45 monastères avant le Révolution.
Au XVIéme siècle, à Aix Charles III successeur du Roi René va mourir sans descendance, et la Provence est rattachée à la France en 1486.
Compléments
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