Série face
Voir également :
– Desire.
– Mute.
Série song of, gravures de visages d’enfant associés à des noms de compositeurs (Arvo Pärt, Carl Off..)
Voir d’autres gravures.
Série mots qui se déroulent au dessus de leur tête.
En 2013 il est accueilli à Bordeaux.
Ainsa est le nom du village catalan d’où provient la pierre du socle.
Jaume Plensa à Bordeaux
Commentaire de la presse locale : « On peut observer ces sculptures sous différents angles et ce qui est frappant, à première vue, est leur état calme et méditatif. Que nous est-il donné à comprendre et apprécier dans ce silence ? Les traits ont été adoucis afin de ne garder que l’essentiel pour l’œil de l’artiste et le nôtre : la beauté en tant qu’essence et le simple fait d’être (2 notions assez impossibles à représenter), au-delà des âges et des couleurs« .
Voir également Marianna & Awilda
Autoportrait la sphère 1 10 25. Ici, nous avons une sphère de symboles et de signes dans laquelle l’artiste, est assis dans une pose méditative. Il s’est ainsi représenté comme au centre de cette bulle linguistique qui l’enveloppe.
A la fin de l’exposition, les bordelais souhaitaient garder une oeuvre. C’est pourquoi la sculpture Sanna reste à Bordeaux.
Thoughts acier inox rubans métalliques qui s’entrecroisent
Ruirui le sculpture émerge du bloc de pierre comme les esclaves de Michel Ange.
Sculpture composée de notes de musique. On peut entrer à l’intérieur. Pensa se rappelle que lorsqu’il était enfant, il aimait se réfugier à l’intérieur d’un piano.
Air water Void 2014 échange à travers les couleurs qui se transforment en permanence.
En 2015 au cours d’une exposition, « la forêt blanche » il a rassemblé toute sa collection de fillettes. En bronze, verre, bois, albâtre, sortent du bloc de pierre.
A la biennale de Venise en 2015 dans l’église San Géorgio major, il a installé une main formée d’une multitude de caractères empruntés à huit alphabets différents suspendue sous la coupole, tandis qu’une tête, réalisée dans un treillis en acier inoxydable, est installée dans la nef. Présentées en exclusivité à la Basilique, ces œuvres originales soulignent bien l’intérêt que porte l’artiste au lien entre le corps et la matière, entre l’échelle et l’espace.
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Depuis le 9 mars il est exposé au musée de Saint Étienne.
Voir un commentaire sur Jaume Plensa.
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Il déclare : « La technique peut être un problème si on y réfléchit à l’avance, mais il faut d’abord rêver, et ensuite, on trouve une solution. »
Il utilise les techniques actuelles, numérisation, modélisation 3D, assemblage de pièces etc.
Les technologies modernes permettent un renouvellement de l’art.
Certaines villes ont eu le courage d’inviter de tels artistes et de leur acheter des pièces importantes, ce qui n’est malheureusement pas encore le cas en Provence.