Les témoins en 1988 exposition importante à l’auditorium Neimeyer à Ravello.
Voir d’autres photos.
Cheval de bronze très épuré, pas de crinière pas de queue.
Il peint avec plus de simplicité.
Golem 1991, participe à une exposition à Prague.
Il réalise en 1992 une installation Hortus conclusus 1992 à Benevento, restaurée en 2007, métaphore de la virginité de la Vierge. Les jardins des couvents sont un lieu de méditation pour les moines. Pour lui c’est un lieu de recherche de paix et d’écoute de sa mémoire personnelle. Son installation est entourée par les murs du couvent.
Il ajoute un masque d’or au cheval. L’or symbolise le passage entre le monde des vivants et celui des morts. Bouclier Samnites fontaines casques des Samnites.
En 1992 il expose dans des musées brésiliens.
Céramiques peintes. Il fait le lien avec les Sculptures vaudou.
En 1993-95 il a peint des saints.
Mimmo Paladino – San Francesco (1993)
Voir également San Emilio (1993)
série mathematico, l’idée du cloisonnement renvoie à l’esthétique médiévale byzantine.
A Naples place du plébiscite. Montagne de sel 35 m de diamètre dans laquelle il a noyé des chevaux de bronze, en rivalité avec les monuments de la ville. Idée de l’éphémère les chevaux seront libérés lorsque le sel aura fondu (installation refaite à Milan en 2011).
En 1999, il reçoit une commande pour une galerie à Londres. Il réalise alors les dormeurs, avec des crocodiles.
Les dormeurs sont installés dans un bassin, évoque la genèse de la vie dans le liquide amniotique et les moulages des corps de Pompéi.
En 1998 chargé il est chargé d’illustrer les deux tomes de l’illyade et l’odyssée de Joyce.
Voir Les ombres et les survivances chez Mimmo Paladino à travers Homère.
En 1988, il est invité à la Biennale de Venise où il est présent dans le pavillon italien. En 1994, il est le premier artiste contemporain italien à exposer en Chine à la Galerie Nationale des Beaux-arts de Pékin. Le Centro per l’arte contemporanea Luigi Pecci de Prato lui consacrera une rétrospective entre 2002 et 2003.
En 2006, il réalise avec la participation d’un poète, un film sur Don Quichotte, qui est une suite de tableaux vivants.
Porta de Lampedousa. Monument de près de cinq mètres de haut et trois mètres de large, de fer en céramique et réfractaire, qui a été inauguré en 2008. La porte est inspirée par l’histoire dramatique des milliers de migrants qui, essayent d’atteindre l’Europe à la recherche désespérée d’un sort meilleur. Il souhaite livrer à la mémoire des générations les drames vécus par ces immigrés.
Il a également réalisé des mises en scène théâtrales dont des opéras de Rossini, voir également La follia di Orlando è anche la mia.
Grandes toiles série Aurora 2010.
Exposition à Florence en 2011.
Pavillon Italie biennale de Venise 2015 personnage pris dans un écheveau.
Enzo Cucchi. Né en 1948.
Enzo Cucchi est né en 1949 à Morro d’Alba. Il vit et travaille à Rome. Dessinateur, peintre et poète. Il dessine et peint ses poèmes. Il a en horreur les discours sur l’art. Il dit ceci : »Oui je suis les marches, on fait du symbolisme de la psychologie sur les paysages, sur les choses, voilà, moi je suis une région. Ça me plait d’être comme une légende et ça plait aussi à la peinture. »
Il peint les paysages et ce qu’il imaginé derrière. Les têtes qu’il ouche au sol lui ressemblent. fusain et
Pierre noire, gros nuages comme des galets.
Il a lu Rimbaud. « Manger les cailloux que l’on brise, les vielles pierres d’églises, les galets des vieux déluges pains semés dans les vallées grises. »
1980 Poisson dans le dos de la mer adriatique.
Enzo Cucchi – Image sainte (1980) Huile sur toile 202 x 205 cm
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Image sainte 1980.
Enzo Cucchi – La chasse méditerranéenne (1979) Huile sur toile 100 x 100 cm
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1979 la chasse méditerranéen.
Enzo Cucchi – Héro sans tête (1981) Huile sur toile 203 x 254 cm Castello di Rivoli Museo d’Arte
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Héros sans tête 1981. Sa tête est entre ses jambes.
Enzo Cucchi – La guerre des régions (1981) Papier sur toile 190 x 200 cm Musée d’art contemporain de Castello de Rivoli
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Enzo Cucchi – Ivre de musique (1982) Huile sur toile 190 x 200 cm
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Ivre de musique il évoque le Greco.
Enzo Cucchi – Le soupir d’une vague (1982) Huile sur toile 300 x 400
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Le soupir d’une vague (1982)
Enzo Cucchi – Regard d’un tableau blessé (1983) Centre Pompidou Paris
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Regard d’un tableau blessé (1983). Voir un commentaire
Enzo Cucchi – La dérive du vaisseau (1982) Huile sur toile 280 x 320 cm
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La dérive du vaisseau (1982)
Enzo Cucchi – A. Rimbaud au Harrar (1985) vernis sur métal 270 x 330 cm
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Arthur Rimbaud au Harrar 1985 plaques métalliques oxydées.
Vitebsk ville de Chagall, qui a été chassé par Malevitch. Il réalise un album d’images de Vitebsk à Harar.
Thème de l’errance et de l’exil CAPC de Bordeaux voitures oxydées et collées sur un fond rapiécé.
Enzo Cucchi – Saint Augustin (1988) Huile sur toile 180 x 210 cm
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Saint Augustin 1988
Enzo Cucchi – Idoles nuageuses (2004) Bronze 43.5 x 65 x 31.5 cm
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Idoles nuageuses 2004
On comprend parce qu’il est poète, et qu’il est attiré par des expériences poétiques intenses (celle de Rimbaud par exemple) qu’il ne veuille pas en tant que peintre ajouter des images aux images qui sont dans la vie, il veut simplement à chaque fois, concevoir quelque chose qui lui permet de partager une émotion très forte, et pas seulement juste une image.