Portrait de Mao réalisé à partir d’une photo.
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Gerhard Richter – Vue de la ville de Paris (1968) 200 cm x 200 cm
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Série les paysages urbains, idée de la destruction potentielle. Après Paris, il réalise Madrid, puis Milan. Obsession des villes en ruine.
En 1968 exposition au Guggenheim de New York.
Détails à partir de fragments de peinture.
Série de nuages musée Ottawa. Il a réalisé plusieurs croquis pour imaginer des conditions d’accrochage.
Avec Blinki Palermo il se rend à New York.
Gerhard Richter – Deux sculptures pour un espace de Palermo (1971) hauteur : 174 cm
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Les sculptures représentent Gerhard Richter (à gauche) et Blinky Palermo (à droite).
Ce n’est ni pour s’amuser ni pour des raisons stratégiques que l’on fait ce genre de portraits sculptés qui se regardent les yeux fermés. Il s’agissait assurément de quelque chose de plus profond, de considération de soi et de respect envers l’ami peintre, tout deux faisant de l’Art en bravant l’esprit du temps. À cette époque, on se sentait vraiment isolé et chacun de nous était content que l’autre peigne et pense à peu près comme lui.
Série de portraits de Brigitte Polk.
Il est nommé professeur à l’académie de Düsseldorf.
Il passe beaucoup de temps à réaliser l’atlas de ses œuvres qui révèle toutes ses sources.
Il représente l’Allemagne à la biennale de Venise en 1972 où il expose 48 portraits.
Il part au Groenland afin de réaliser une série dans la tradition du paysage romantique allemand de Friedrich.
Peinture réalisée à partir de l’annonciation du Titien.
4096 couleurs 1974. Voir également ses chartes de couleurs.
Monochromes gris. Il réalise ces œuvres dans des moments de doute.
Série de portraits consacré à Gilbert et Georges.
1977 portraits de sa fille Betty. Fleurs exposition au centre Pompidou.
Vanité crânes, voir la série sur les crânes.
Grandes abstractions Glenn réalisées à l’aérographe et au pinceau.
Gerhard Richter – Glenn (1983) Huile sur toile, 190 x 500 cm Musée d’art moderne de Saint-Etienne
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Tableau consacré au compositeur contemporain américain Glenn Branca, Richter intervient sur la toile avec un racloir, tout comme il floutait en effleurant l’huile encore humide avec une brosse souple dans les années soixante. Le racloir, ce nouvel outil, vient compléter l’arsenal des techniques utilisées pour ses œuvres abstraites : le rouleau pour le monochrome, l’éponge pour la création de textures, la peinture gestuelle, l’estompe.
1980 triomphe international.
En 1981 il divorce d’Emma et se remarie avec Isa.
Gerhard Richter – Paysage rhénan grange (1983) Huile sur toile, 70 x 100 cm
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Paysage rhénan grange 1983, Il déclare : »Les paysages sont une forme de désir ardent d’aspiration à une vie pleine et sage. Ils sont plein de nostalgie« .
Dans ses peintures abstraites de cette période on voit apparaître le raclage.
Le raclage de la peinture produit des abstractions très colorées.
Comparaison avec Max Ernst qui utilise également des raclages avec des moyens plus limités.
Série de peintures sur des photographies sans titre Venise, Toronto.
Grande exposition itinérante.
Campagne française 1987 exposition au centre Pompidou
Gerhard Richter – Chinon n°645 (1987) Huile sur toile 200 x 320 cm Centre Pompidou Paris
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Cycle intitulé 18 Octobre 1977 qui regroupe 15 tableaux peints d’après des photographies de presse et de police prises la date indiquée et documentant des événements tragiques qui mirent l’Allemmagne en état de choc.
Les faits : la journée commence par l’assaut des forces de l’ordre d’un avion de la Lufthansa détourné à Mogadiscio par des terroristes qui exigent la libération immédiate des membres de la Fraction Armée Rouge (RAF) emprisonnés dans le quartier de haute sécurité de la prison de Stammheim, à Stuttgart. En fin de journée, Andreas Baader et Jan-Carl Raspe sont retrouvés morts dans leur cellule, tués par balle, et Gudrun Ensslin pendue à l’aide d’un câble électrique − la cause exacte de leur mort ne sera jamais réellement élucidée. Le lendemain, Hans Martin Schleyer, président du patronat allEmmand, kidnappé en septembre par des membres de la deuxième génération de la RAF, est assassiné à titre de représailles.
L’œuvre : bien qu’ayant pour titre cette date tragique, le cycle de Richter traite d’une succession d’événements relatifs à l’histoire de la RAF, de ses débuts avec un portrait de jeunesse d’Ulrike Meinhof, en passant par l’arrestation de Holger Meins, Ulrike Meinhof, Gudrun Ensslin, Andreas Baader et Jan-Carl Raspe, à la confrontation de Gudrun Ensslin avec ses juges, la découverte des corps dans leur cellules de Stammheim et, enfin, aux funérailles des défunts.
Série morte. Enterrement à l’échelle d’une peinture d’histoire.
Le public a été très hostile au départ.
Gerhard Richter – Portrait de Betty (1988) Huile sur toile, 102 x 72 cm Saint Louis Art Museum
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L’année 1988 est un moment crucial dans l’œuvre de Richter. Elle est marquée par une toile emblématique, un portrait d’adolescente, Betty, sa fille, née fin décembre 1966. Peinte d’après une photo prise plusieurs années auparavant, elle est vêtue d’un cardigan à fleurs, porte un chignon, se détourne du spectateur, de celui qui a pris la photo. Elle regarde en arrière, un tableau de son père, un Gris des années soixante-dix que l’on identifie grâce au bord blanc laissé en bas de l’image. Le flou caractéristique de Richter atténue l’impression de photoréalisme. La rotation du buste de la jeune fille exprime une contradiction inhérente à l’artiste tourné, d’une part, vers le passé et, de l’autre, vers l’avenir.
Série Bach (1992-1993).
Isa pose pour lui pour la dernière fois ; Isa pose comme un mode professionnel.
1994 rencontre avec Sabine Moritz.
Portraits de Sabine
Série Sabine avec son nouveau né S. avec enfant. Peinture intimiste.
1995 deux autoportraits.
Il obtient le Lion d’or à Venise en 1997. Son Atlas est exposé à la documenta