Cours du 20 janvier 2014

Série avec les couples.


Roy Lichtenstein – Masterpiece (1962) 137 cm × 137 cm
(cliquer sur l’image pour l’agrandir)

Brad chéri, cette peinture est un chef-d’œuvre ! Bientôt vous aurez tout New York à vos pieds ! Voir un commentaire. Voir l’image d’origine dont il s’est servi.


Roy Lichtenstein : Les techniques par centrepompidou
Les techniques de Roy Lichtenstein

Roy Lichtenstein – Duplicator (1962) 137 cm × 137 cm
(cliquer sur l’image pour l’agrandir)

Image duplicator ce personnage se qualifie de reproducteur d’images. C’est un retour sur lui même il y a autant à regarder qu’à lire. Voir l’image d’origine dont il s’est servi.

En 1962 il expose à la galerie Léo Castelli. Scandale pour certains, et succès auprès des jeunes artistes.

Photo de R. Lichtenstein à la galerie Léo Castelli.

De 1962 à 1965 il va réaliser une série consacrée à la BD à l’eau de rose et une autre consacrée aux peintures de guerre BD violentes.


Roy Lichtenstein – No thank you
(cliquer sur l’image pour l’agrandir)

No thank you. Jeune fille stéréotypée, impersonnelle pense et parle éprouve des émotions. Voir l’image d’origine dont il s’est servi. Il transforme ensuite l’image de départ et la reproduit ensuite avec un effet tramé en utilisant un épiscope. Il ironise.


Roy Lichtenstein – I know … Brad 168 x 96 cm Wallraf-Richartz Museum, Cologne
(cliquer sur l’image pour l’agrandir)

I know how you must Voir un commentaire.


Roy Lichtenstein – M-Maybe … (1965) 152,4 cm × 152,4 cm Wallraf-Richartz Museum, Cologne
(cliquer sur l’image pour l’agrandir)

Une jolie blonde aux yeux bleus et à l’air songeur semble regarder le spectateur du tableau, mais son regard est vide d’expression tourné vers l’intérieur. La tête appuyée sur sa main gauche gantée -traditionnelle métaphore du sentiment mélancolique- elle se demande avec inquiétude, comme le dévoile le texte de la bulle pourquoi on la fait attendre en vain. Visiblement un homme lui a fait faux bond. Les spectateurs éprouvent tout de suite de la compassion tant la situation leur est familière. Qui ne peut la comprendre ? Ce pourrait être ainsi, s’il n’y avait le mode de représentation standardisé. Par ce moyen, l’artiste soustrait la victime présumée à une réponse et la fait basculer dans une indéfinissable atmosphère de distance, face à laquelle la compassion paraît être une forme particulière d’hypocrisie. Le rapport entre image et spectateurs paraît soudain à double fond. A l’artificialité du langage pictural correspond le cliché de l’image que Lichtenstein a trouvé le modèle dans une bande dessinée. source Klaus Honnef.
Voir un commentaire. Voir l’image d’origine dont il s’est servi.


Roy Lichtenstein – Drowning girl (1964) 171,6 × 169,5 cm MoMA, New York
(cliquer sur l’image pour l’agrandir)

Noyade fille; Voir un commentaire. Inspiration de la vague de Katsushika Hokusai.


Roy Lichtenstein – Girl at piano (1963)
(cliquer sur l’image pour l’agrandir)

Roy Lichtenstein – Fille au piano (1963)

Crying girl (1964). Jeune fille qui pleure cernes noirs très variés dans leur épaisseur cherche à suggérer des ombres. Petits point benday tots, il a détourné les points de trame inventés par B. To.ts principe du pointillisme. Détail œil qq points en bleu. Avec une brosse à dent il peint à travers la grille comme pochoir. Contraste entre la façon de la peindre impersonnelle et le caractère très émotionnel du discours.
Voir un commentaire.

Une brune drawing girl 1963. Inspiré par la vague japonaise. Sentiments très exlatés et style industriel


Roy Lichtenstein – Ohhh…Alright…, (1964) 91,4 x 96,5 cm
(cliquer sur l’image pour l’agrandir)

Rousse Ohh alright. Voir un commentaire.


Roy Lichtenstein – Oh jeff, I love you too but… 121,9 × 121,9 cm (1964)
(cliquer sur l’image pour l’agrandir)

Oh, Jeff … Je t’aime, trop … Mais … Voir un commentaire.


Roy Lichtenstein – Hopeless (1963) 111,8 × 111,8 cm Kunstmuseum Bâle
(cliquer sur l’image pour l’agrandir)

Sans espoir 1963. Voir un commentaire.


Roy Lichtenstein – The melody haunt (1965) 61 × 76 cm Housatonic Museum of Art , Bridgeport, Connecticut , États-Unis
(cliquer sur l’image pour l’agrandir)

La mélodie hante ma rêverie. Voir un commentaire.


Roy Lichtenstein – Vicky (1964) 106 × 106 cm
(cliquer sur l’image pour l’agrandir)

Vicky j’ai cru entende ta voix. Email sur métal. Voir un commentaire.

Je pense à lui …. Il utilise l’épiscope.


Roy Lichtenstein – Forget it 203,2 x 172,7 cm (1962) Rose Art Museum, Brandeis University de Waltham, Massachusetts, États-Unis
(cliquer sur l’image pour l’agrandir)

Oubliez ça! Oubliez-moi! Voir un commentaire.


Roy Lichtenstein – Tension (1964)
(cliquer sur l’image pour l’agrandir)

Tension 1964. trame en noir et blanc, cadrages très rapprochés. Voir l’image d’origine dont il s’est servi.


Roy Lichtenstein – In the car (1964) 172 x 203,5 cm Scottish National Gallery of Modern Art
(cliquer sur l’image pour l’agrandir)

Dans la voiture, impression de vitesse. Voir un commentaire.


Roy Lichtenstein – It is with me
(cliquer sur l’image pour l’agrandir)

It is with me. Voir l’image d’origine dont il s’est servi.


Roy Lichtenstein – We Rose Up Slowly (1964) 172.7 x 233.7 cm Musée d’art moderne, Francfort
(cliquer sur l’image pour l’agrandir)

Nous nous levâmes lentement. Image plus texte. Voir un commentaire.


Roy Lichtenstein – Girl in a mirror (1964)
(cliquer sur l’image pour l’agrandir)

Fille dans un miroir 1964 jeune fille joyeuse. Voir un commentaire. Part d’une BD croquis, collage projeté avec l’épiscope.